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Informations traduites et compilées par
Soliranparis, 4 octobre :
La Commission des différends sociaux
de la Ville de Shush travailleurs réaffirme le
licenciement des travailleurs de Haft Tapeh
3 octobre 2010
Reza Rakhshan, l’un des porte parole du
syndicat libre travailleurs de la canne a sucre
de la a signalé , dans une interview qui a
donnée à l’Agence des nouvelles iranienne de
travail (ILNA)que quatre membres du Syndicat des
travailleurs de la canne a sucre de Haft Tapeh,
Fereidoun Nikoufard, Jalil Ahmadi, Ghorban
Alipour et Mohammad Heidari Mehr ont vu leurs
licenciements de l’usine confirmées par la
commission des différents sociaux de la ville de
Shush.
Les camarades travailleurs ont été expulsés
de l’usine par la direction en raison de leurs
activités syndicales et les grèves organisées
par le Syndicat.
Bien que l’entreprise soit dans une bien
meilleure situation économique que par le passé,
de nombreux militants syndicaux ont été
congédiés de leur emploi ces derniers mois. Ceci
est en contradiction avec les proclamations
énoncées aux conventions de l’OIT (Organisation
Internationale du Travail) par les représentants
du gouvernement iranien présent lors du dernier
sommet de l’OIT à Genève l’année dernière.
Trois
mille travailleurs des pneus Barez dans la ville
de Kerman en grève pour depuis trois jours
3 octobre 2010
Selon des rapports et des témoignages de la
libre association des travailleurs iraniens, le
27 Septembre, environ trois mille travailleurs à
Barez Pneus à Kerman ont débrayés et sont mis en
grève pour protester contre leur conditions de
travail et le non-paiement de leurs heures
supplémentaire
Les travailleurs protestent pour recevoir
environ ce qui leur était du sur 120 heures de
travail supplémentaires qui a été ramené
progressivement à 30 heures et plus récemment, à
3 heures.
Les travailleurs des pneus Barez, dont 90
pour cent sont payes sur des bases de contrat
mensualisées qui repose sur des contrats
annuels, reçoivent environ 400 à 500 dollars par
mois sur leur payent ils doivent déduire 37
dollars d’impôts et d assurances maladie.
Les travailleurs des pneus Barez doivent
ainsi payer la moitié de leurs coûts d’assurance
maladie alors qu’ils se sont couvert qu’à
seulement 25 pour cent de leurs droits sociaux .
Beaucoup de travailleurs des pneus Barez ont
également d’énormes problèmes de paiement de
leurs loyers et cela dure depuis l’année 1993
Les travailleurs des pneus Barez ont déjà
organisés plusieurs manifestations au cours de
la dernière semaine en solidarité avec les
travailleurs qui ont perdu leurs contrats de
travail à la suite de ces protestations.
Après trois jours de grève, le chef du bureau
de travail dans la ville de Kerman a promis de
mettre en place une commission pour répondre aux
doléances des travailleurs. Les travailleurs
n’avaient pas d’options autre que d’accepter ces
conditions et ont étés obligés de reprendre le
travail en espérant faire confiance a cette
commission malgré les menaces de la direction
toujours présentes de licencier et de ne pas
renouveler de nouveaux contrats annuel a des
travailleurs grévistes
Les travailleurs de l’huile de
cuisine Ghou ce sont mis également en grève
3 octobre 2010
Le 28 Septembre, les travailleurs de
l’huilerie Ghou à Téhéran a arrêté de travailler
et ont organisé un sit-in de protestation dans
l’usine
Les travailleurs on acceptés de témoigner sur
le site l’Agence des nouvelles du travail
iranien (ILNA), il en ressort que l’usine qui
emploie 450 travailleurs a travaillé à une
capacité de 20-30 pour cent de ces capacités.
Ces protestations ont éclatées malgré le fait
que beaucoup de travailleurs à l’usine seraient
membres de la milice Basid’j’is et des vétérans
de la guerre Iran-Irak , on signale aussi que
certains de ces vétérans ont rejoints les
grévistes et les travailleurs mécontents dans
leur combat syndical, malgré quelques promesses
de la direction les travailleurs gréviste on
promis de poursuivre leur sit-in jusqu’à ce que
celle ci entende leur revendication. De nombreux
travailleurs ayant plus de 15 ans d’ancienneté à
l’usine ont demandé à bénéficier de la retraite
anticipée. 375 travailleurs sont des permanents
et 75 pour cent des autres travailleurs de
l’usine sont en contrats temporaires précaires
avec un statut proche de l’intérim en Occident.
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