17 et 16 mars 2013 nouvelles qui nous sont parvenues
via le site du comité Iranien de défense des droits de
l’homme du Comitee Of Human Rights Reporters :
Alors que la journée des femmes vient d’être célébrée ce
8 mars 2013 partout dans le monde, il ya encore un grand
nombre de prisonnières politiques, de militantes de la
société civile, d’activistes, de militantes féministes
et défenseures des droits des femmes et de l’homme qui
purgent de lourdes peines de prison. Et qui sont
enfermée derrière les barreaux à travers tout l’Iran.
Au cours des derniers mois, un certain nombre de ces
femmes prisonnières politique détenues pour leurs prises
de consciences et leur activisme ont été libérées après
avoir purgé leur peine. Parmi ces anciennes
prisonnières se trouvent Ronak Safarzadeh (Qui
était détenue dans la prison de Sanandaj), Zeinab
Bayazidi (Qui était détenue dans la prison de Zanjan),
Fereshteh Shirazi (Qui était détenue dans la
prison de la ville d’Amel), Nazanin Deyhimi,
Negar Haeri, Ladan Mastoufi et Haniyeh
Farshi Shotorban (Qui étaient détenues dans la
tristement célèbre prison d’Evin à Téhéran).
Voici pour cette année 2013 la liste des femmes et de
nos amies et camarades Iraniennes, détenues dans
diverses prisons à travers le pays. Cette liste ne
reprend pas toutes les prisonnières de conscience mais
comporte également un grand nombre de prisonniéres,
injustement condamnées pour les seules raisons de leurs
activités civiles et politiques.
Prisonniéres politiques et de conscience enfermées
dans la prison d’Evin à Téhéran:
1 – Besmeh Al-Jabouri – est une prisonnière
irakienne, accusée d’espionnage en faveur de ce pays,
elle a été condamné à 5 ans de prison et à déjà passé un
an et demi en détention.
2 – Bahareh Hedayat – est une étudiante et
une militante des droits des femmes, membre du
Daftare Tahkime Vehdat (Un syndicat étudiant), sa
première arrestation date de 2005 en raison de sont
activisme dans la défense des droits des femmes, elle
fut de nouveau arrêtée au lendemain des manifestations
qui avaient précédées les élections présidentielles
contestées du 12 juin 2009 , condamnée à une peine de 10
ans elle a déjà passé plus de 3 ans en détention, elle
bénéficie actuellement d’un « congé médical » et
est soignée dans un hôpital sous surveillance policière.
3 – Behnaz Zakeri – est de nationalité
Suédo-Iranienne, elle fut arrêtée alors qu’ elle
rentrait au pays après un séjour en Europe et arrêtée
pour avoir été supposément été une chargée de liaisons
avec le parti politique des Moudjahidines du peuple
(MEK), condamnée à 10 ans de prison, elle a déjà passé
environ 8 mois en détention.
4 – Hakimeh Shokri – est membre du collectif
des Mères en deuil , elle fut arrêté en décembre
2010, après avoir assisté aux funérailles d’Amirashed
Tajmir ( Un jeune manifestant tué par la police anti
émeute au cours des manifestations qui avaient précédées
les élections présidentielles contestées du 12 juin
2009), condamnée à 3 ans de prison elle a déjà passé 4
mois en détention.
5 – Haj Ebrahim Reyhaneh Dabagh – est parmi
les nombreux-es manifestant-es arrêté-es pendant les
émeutes et les protestations de l’Achoura du 27
décembre 2009 , elle aussi fut arrêtée pour avoir été
supposément chargé des liaisons avec les parti politique
des Moudjahidines du peuple (MEK), sa condamnation à
mort initiale a finalement été commuée aprés une
parodie de procès en appel, en une peine de 15 ans de
prison, elle a déjà passé plus de 3 ans de détention,
sans pouvoir obtenir une permission de sortie
provisoire pour raison de « congé médical »
malgré ses problémes de santé.
6 – Jila Baniyaghoub - journaliste et
militante féministe défenseure du des droits des femmes,
a été condamnée a une peine de prison de 30 ans
assortie d’une autre peine supplémentaire d’un an, elle
est aussi frappée d’une interdiction de plusieurs années
d’exercer son métier de journaliste et de toutes
activités professionnelles dans le monde la presse et
des médias, elle a déjà passé 6 mois en détention. Son
mari Bahman Ahmadi Amoui qui est aussi
journaliste a été condamné à purger une peine de 5 ans
derrière les barreaux, dans la sinistre prison de
Gohardasht Rajaee Shahr, il bénéficie actuellement
d’une permission de sortie provisoire de prison en
conditionnelle.
7 – Jila Karamzadeh Makvandi – Poète et membre
du collectif des Mères en deuil, arrêtée après
les manifestations de colère populaires qui avaient
précédées les élections présidentielles contestées du 12
juin 2009, elle a été condamnée à une peine2 ans de
prison, elle a déjà passé une année en détention, sans
possibilités de bénéficier d’une permission de sortie
provisoire en conditionnelle.
8 – Shabnam Madadzadeh – ancienne militante
étudiante, arrêtée en mars 2009, elle aussi a été
accusée d’être une chargée des liaisons avec le parti
politique des Moudjahidines du peuple (MEK), condamné à
une peine de5 ans de prison, a déjà passé plus de 4 ans
en détention. Son frère Farzad Madadzadeh est
actuellement détenu dans la sinistre prison de
Gohardasht Rajaee Shahr sous les mêmes charges
judiciaires et d’accusations.
9 – Shiva Nazarahari – militante défenseure
des droits humains, membre du Comitee Of Human Rights
Reporters ou CHRR, détenue à deux reprises
après avoir manifesté et contesté publiquement contre
les résultats des élections présidentielles du 12 juin
2009, elle a été condamnée a 4 ans de prison et a subir
une peine supplémentaire de 74 coups de fouets le jour
de sa libération, a déjà passé an et demi en détention,
une permission de sortie provisoire en conditionnelle
lui a été finalement accordée le 12 Mars 2013.
10 – Sedigheh Moradi – elle aussi a été
accusée d’être une chargée des liaisons avec le parti
politique des Moudjahidines du peuple (MEK), a été
condamnée à une peine 10 ans de prison, a déjà passé
plus d’un an en détention.
11 – Saghra Gholamnejad - elle aussi a été
accusée d’être une chargée des liaisons avec le parti
politique des Moudjahidines du peuple (MEK) , condamné
à une peine de 2 ans de prison, a déjà passé un an en
détention.
12 – Faezeh Hashemian – activiste politique et
condamnée pour cela à une peine de 6 mois de prison, a
déjà passé 5 mois en détention.
13 – Fariba Kamalabadi - Citoyenne Baha’ie
membre d’un groupe de 7 personnes du collectif Iranien
Yarane condamnée à une peine 20 ans de
prison, a déjà passé plus de 5 ans sans possibilités de
bénéficier d’une permission de sortie provisoire en
conditionnelle.
14 – Faran Hesami – Citoyenne Baha’ie
condamnée en raison de sa foi en cette religion à une
peine de 5 ans de prison, elle est la mère d’un enfant
en bas âge qu’elle ne peut pas voir lors des visites de
sa famille , elle a déjà passé plus de 8 mois en
détention. Son mari Kamran Rahimian a quant à
lui déjà passé plus de 5 ans de prison derrière les
barreaux dans la sinistre prison de Gohardahst Rajaee
Shahr.
15 – Kobra Amirkhizi Banazadeh – Arrêtée
pendant alors qu’elle tentait de rendre visite à son
fils qui vivait en Irak, accusée elle aussi d’être une
chargée des liaisons avec le parti politique des
Moudjahidines MEK) a été condamnée à une peine de 5 ans
de prison, a déjà passé prés de 4 ans en détention sans
possibilité d’obtenir une permission de sortie
provisoire en conditionnelle.
16 – Malek Mohammadi Kefayat - fut arrêtée
avec son mari, au cours événements et des manifestations
et émeutes de l’Achoura de décembre 2009, elle aussi
accusée d’être une chargée des liaisons avec parti
politique des Moudjahidines du peuples (MEK), a été
condamnée à une peine 5 ans de prison et a déjà passé
plus de 3 ans en détention.
17 – Lava Khanjani - Citoyenne Baha’ie
condamnée à une peine 2 ans de prison en raison de sa
pratique de cette religion , a déjà passé environ plus
de 8 mois en détention. Son frère Foad Khanjani
purge actuellement une peine de prison de 4 ans dans la
sinistre prison de Gohardasht Rajaee Shahr.
18 – Aliyeh Tabrayiyan – a été condamnée a 2
ans de prison pour ses activités politique, elle a déja
passé environ 6 mois en détention.
19 – Asal Esmailzadeh – est une militante du
mouvement « réformateur Vert », elle a été
condamnée a 2 ans de prison elle a déjà passé 2 mois
en détention, mais a pu bénéficier d’une sortie
provisoire pour « congé médical » qui lui a été
accordé le 14 Mars 2013 dernier.
20 – Mahboubeh Karami – est membre du
collectif et comité féministe Iranien de la One
Million Signatures Campaign qui a été accusée
d’appartenir à « un groupe d’ activistes et de
défenseur des droits de l’homme illégal en Iran »,
condamnée à 3 ans de prison, elle a déjà passé plus de
2 ans en détention.
21 – Mahboubeh Mansouri - est elle aussi
accusée d’être une chargée des liaisons avec le parti
des Moudjahidines du peuple (MEK), condamnée à 2 ans de
prison, elle bénéficie actuellement d’une permission de
sortie provisoire en conditionnelle et d’un « congé
médical » sous surveillance policière.
22 – Maryam Akbari Monfared – fut arrêtée elle
pendant les protestations et les émeutes de l’Achoura de
décembre 2009, accusée d’être une chargé des liaisons
avec le parti des Moudjahidines du peuple partie (MEK),
condamnée à 15 ans de prison et mère de 3 enfants, elle
a déjà passé 3 ans en détention, bien que gravement
malade elle s’est vu refusée toutes permissions de
sortie en conditionnelle pour voir ses enfant et se
faire soigner dans un hôpital public.
23 – Maryam Jalili - est accusée de:
« S’être convertie au Christianisme et de changer de
religion », condamné à 2,5 ans de prison, a déjà
passé environ un an en détention.
24 – Motehareh Bahrami – arrêtée(avec son mari
Mohsen Moghadam Daneshpour, son fils Ahmad
Daneshpour Moghadam, et 2 amis Reyhaneh Haj
Ebrahim Dabagh et Hadi Ghaemi) pendant les
manifestations et les émeutes de l’Achoura de décembre
2009, elle fut sous le coup d’une peine de condamnation
à mort qui fut commuée en appel, en une peine de 10 ans
de prison , a déjà passé 3 ans en détention, sans
possibilités de permission de sortie provisoire de
prison en conditionnelle pour « congé médical »
malgré de nombreuses et graves maladies.
25 – Mitra Zahmati – est accusée de:
« S’être convertie au Christianisme et de changer de
religion », condamnée à 2,5 ans de prison, a déjà
passé un an et demi en détention et s’est vu refusé sa
demande de libération en conditionnelle.
26 - Manijeh Najm Araghi - traductrice et
écrivaine, membre de l’Association des écrivains de
l’Iran, activiste et militante féministe défenseure des
droits des femmes, elle a été condamnée à une peine d’un
an de prison pour ses textes et ses écrits, a déjà passé
environ 10 mois en détention.
27 – Manijeh Nasrollahi – Citoyenne de
confession Baha’ie, elle a été condamné à 3,5 ans de
prison en raison de sa religion, a déjà passé plus de 3
ans en détention.
28 – Mahsa Amrabadi – journaliste et opposante
a été condamnée à une peine de prison de 2 ans, a passé
plus d’un an en détention. Son mari le journaliste
Masoud Bastani qui était détenu dans la sinistre
prison de Gohardasht Rajaee Shahr située prés de la
ville de Karaj-dans la province de Téhéran Ndlr.
Vient de bénéficier d’une permission de sortie de prison
en conditionnelle et sous surveillance policière
29 – Mahvash Shahriari – Citoyenne Baha’ie,
membre du groupe de 7 personnes appartenant au mouvement
politique Iranien Yarane , a été condamné à une
peine de 20 ans de prison, a déjà passé plus de 5 ans en
détention, sans possibilités de bénéficier d’une
permission de sortie provisoire en conditionnelle.
30 – Nasrin Sotoudeh – avocate et militant
défenseure des droits humains et du droit des enfants,
condamné à 6 ans de prison, a déjà passé environ 2,5 ans
en détention. Mère de 2 enfants elle s’est lancée dans
4 grèves de la faim alors qu’elle a effectuées derrière
les barreaux, pour protester contre les brimades et les
traitements illégaux de ses conditions de détention,
dirigés par les autorités pénitentiaire de la prison
d’Evin de Téhéran, contre elle-même et les membres de
sa famille. (on se souvient que pendant de long mois les
autorités d’Evin en représailles à ses protestations,
lui avaient retiré ses droits de visite ce qui faisait
qu’elle ne pouvait plus à cette période ni voir ni ses
deux enfants ni son mari, ni ses amis et le reste de sa
famille ).
31 – Nasim Soltan Beygi - journaliste et
ancienne militante étudiante, condamnée à 3 ans de
prison, a déjà passé environ 7 mois en détention.
32 – Nooshin Khadam – Citoyenne Baha’ie et
professeur à l’IBES (Une université Bahaie en
ligne donnant aussi des cours par correspondance),
condamnée à une peine de 4 ans de prison pour avoir soit
disant « enseigné sans autorisations », a déjà
passé plus de 1,5 ans en détention.
33 – Haniyeh Sanae Farshi – activiste
politique accusée d’avoir « insulté le guide
suprême » de « propagande contre le régime et
d’agissements contre la sécurité nationale »,
condamnée à une peine de 7 ans de prison commuée
finalement en une peine 5 ans après un deuxième procès
en appel, a déjà passé plus de 2,5 ans en détention sans
possibilités de bénéficier d’une permission de sortie
provisoire en conditionnelle.
Prisonnières politiques et de conscience enfermées
dans la prison de la ville de Kermanshah – Kurdistan
Iranien:
34 – Zeynab Jalalian – Citoyenne Kurde membre
du PKK et proche du PJAK, elle fut arrêtée
à Kermanshah en 2008 et transféré ensuite vers la prison
de Sanandaj, a subi de graves tortures et de longues
périodes d’isolement cellulaire, accusée d’être une
« Moharebeh » – une ennemie de dieu en inimité avec
dieu selon la loi Iranienne-Ndlr. Sa condamnation
à mort a été commuée en une peine de prison à
perpétuité, elle est depuis détenue dans la prison de la
ville de Kermanshah, bien que gravement malade les
autorités pénitentiaires lui refusent toujours toutes
permissions de sortie provisoire en conditionnelle. Pour
qu’elle puisse se faire soigner en dehors de sa prison
dans un hôpital approprié, des séquelles physiques des
violences et des tortures qu’elle a subies lors des ces
premières années de détention – une demande légitime qui
n’est pourtant pas incompatible avec les règlements
intérieurs des prisons de la « république Islamique
d’Iran ».
Prisonnières politiques et de conscience enfermées
dans la prison de la ville d’Ahvaz-Province du
Khuzestân:
35 – Fatemeh Rahnama - fut elle aussi arrêtée
pendant les protestations et les émeutes de l’Achoura de
décembre 2009, alors qu’elle se trouvait dans une rue à
proximité de Zahra Rahnavard ( l’épouse de
l’ancien candidat « réformateur » Mir
Hossein Moussavi ) , emprisonnée à l’âge de 19 sur
des accusations supposées de: « liens avec le parti
des Moudjahidines du peuple ou MEK », elle est
maintenant condamné à une peine de 10 ans de prison, à
purger en « exil intérieur » loin de sa famille
dans la prison de la ville d’Ahvaz située dans la
province méridionale du Khuzestân .
Prisonnières politiques et de conscience enfermées
dans la prison de la ville de Gharchak & Ramin:
36 – Raheleh Zakayee – la moins connue des
prisonnières politique Iraniennes, accusée de
« propagande contre le régime », condamnée à une
peine d’un an de prison, elle a été récemment
transférée de la prison d’Evin vers celle Gharchak &
Ramin, sans que les autorités Iraniennes n’aient données
d’explications valables à sa famille.
Prisonnières politiques et de conscience enfermées
dans la prison de la ville de la ville de Semnan:
37 – Taraneh Tarabi – Citoyenne Baha’ie
accusée d’être une chargée du suivi de la foi Bahai’e
condamné à une peine de 2,5 ans de prison, a déjà passé
5 mois en détention. En Octobre 2012, elle a été
transférée à la prison de Semnan avec son nouveau-né,
malgré le fait que les conditions de vie dans cette
prison ne sont pas du tout adaptées pour un enfant en
bas âge.
38 – Zohreh Nikaeen – Citoyenne Baha’ie elle
aussi accusée d’être une chargée du suivi de la foi
Bahai’e, condamnée à une peine de 23 mois de prison, a
déjà passé 5 mois en détention. En Octobre 2012, elle a
été transférée d’un premier centre pénitentiaire vers
celui de la prison de la ville de Semnān avec son bébé,
en dépit du fait que les conditions de vie dans cette
prison ne sont pas du tout adaptées non plus la aussi
pour un enfant en bas âge.
39 – Rofia Beydaghi – Citoyenne Baha’ie est
accusée d’être une chargée du suivi de la foi Baha’ie,
condamnée pour cela à une peine d’un an de prison. Le
père de cette prisonnière politique est également
derrière les barreaux de prison de la ville de Semnān
pour les mêmes raisons.
40 – Jinous Nourani – Citoyenne Baha’ie elle
aussi accusée d’être une chargée du suivi la foi Baha’ie,
condamnée pour cela à une peine d’un an de prison.
Prisonnières politiques et de consciences
enfermées dans la prison de la ville de Mashhad:
41 – Rozita Vaseghi - Citoyenne Bahaïe
accusée de » prosélytisme en faveur de-là foi
Baha’ie » et » d’avoir insulté le guide suprême »,
elle a été condamnée a une peine de 5 ans de prison. En
dépit du fait qu’elle vient de purger la moitié de sa
peine derrière les barreaux dont 6 mois en cellule
d’isolement en solitaire, les autorités pénitentiaire
viennent de refuser sa demande de sortie provisoire en
conditionnelle et un « congé médical », alors
qu’elle est malade.
42 – Sima Ashrafi – Citoyenne Baha’ïe est
accusée d’avoir fait de la « propagande contre le
régime » et « d’outrage au guide suprême »
(l’Ayatollah Khamenei) condamnée à 5 ans
de prison elle a déjà passé 2,5 ans en détention. Mére
de deux enfants on vient de lui refuser sa demande de
libération en conditionnelle malgré qu’elle ait déjà
passé plus de la moitié de sa peine derrière les
barreaux.
43 – Nahid Ghadiri – Citoyenne Baha’ïe
originaire de la ville Mashhad, elle aussi accusée de
« prosélytisme en faveur de-là foi Baha’ie »,
condamnée à 5 ans de prison elle a déjà passé 2 ans et
6 mois en détention et se trouve en trés mauvaise santé
en raison de ses conditions d’emprisonnements.
Prisonnière politique en résidence surveillée:
44 – Zahra Rahnavard – Mise en résidence
surveillée depuis le 15 Février 2011 avec son mari
Mir Hossein Moussavi l’ex candidat
« réformateur » à la dernière présidentielle
Iranienne du 12 juin 2009. Elle n’a pas été jugée par un
tribunal et ont ne lui a jamais remis les motifs de
cette mise à demeure. Elle est privée de tous ses droits
civique et en tant que prisonnière considérée comme
« séditieuse », elle n’a pu que bénéficier que de
très rares visites de membres de sa famille et de ses
enfants, toujours effectuées sous haute surveillance
policière.
Agissez
maintenant! Envoyer un message aux autorités politiques
et judiciaires iraniennes et les appeler d’abandonner
immédiatement et sans conditions toutes les accusations
contre tous les travailleurs emprisonnes et tous les
prisonniers politiques.
Vous pouvez aussi envoyer un message à l’ambassade ou à
la représentation diplomatique de l’Iran dans votre
pays.
Envoyez une copie de
vos messages de protestation à: info@leader.ir,
info@judiciary.ir, iran@un.int; ijpr@iranjudiciary.org,
info@dadiran.ir, office@justice.ir, ilo@ilo.org;
cabinet@ilo.org; eastgulf@amnesty.org; hrwgva@hrw.org.
CC: info@iran-echo.com
Quelques adresses de contact qui peuvent être utiles :